PRÉVENTION DES RISQUES SEXUELS
2013
Porteur de l'action : Action sida martinique (Action sida martinique), Association
267 Avenue Maurice Monrose Squadra C1 Cité Dillon - BP 1075 , Fort-de-France
0596 63 12 36
Thème
Sexualité (contraception, IVG), VIH-Sida IST
Contexte
C’est une chronologie d'événements dans un contexte épidémiologique inquiétant qui a conduit à initier ce projet.
Depuis sa création l’une des missions de l’association Action Sida Martinique est d’informer la population par diverses actions permanentes ou ponctuelles, en direct ou en partenariat.
Elle bénéficie dans ce sens d’une expérience qui l’a conduite à créer, en 2003, un pôle « formation » actif auprès de nombreux partenaires. Depuis, la formation initiale de 948 professionnels du secteur médico-social et éducatif a contribué, d’une part, à l’évolution de l’accueil et de la prise en charge des personnes séropositives au VIH, et d’autre part, à l’amélioration des connaissances et des méthodes des acteurs de prévention, professionnels ou bénévoles.
La déclaration de 580 nouveaux diagnostics d’infection au du 30 mars 2003 au 31 décembre 2011 (chiffre observatoire de la santé de novembre 2012), indique une épidémie de VIH encore très active en Martinique et la prépondérance des contaminations lors de rapports hétérosexuels 53%. La tranche d’âge 40-49 ans est la plus touchée (28% des cas).
Alors que les experts recommandent un diagnostic précoce pour le VIH et les IST, le dépistage tardif persiste : les principales circonstances de découvertes de séropositivité sont la présence de signes cliniques et biologiques (28%) et le bilan systématique (15%).
La résurgence des cas de syphilis (55 cas depuis 2004), atteste d’un relâchement de la prévention et la pratique persistante de comportements sexuels à risque. Le risque de cancers du col associés aux papillomavirus (HPV) est significatif.
La prévalence constante des diagnostics de Chlamydiae chez les jeunes (38% des diagnostics d’IST chez les moins de 29 ans selon le Dispensaire Vernes-Monrose, chiffre de 2011) dénote un suivi gynécologique incertain, alors que des possibilités de traitements simples et efficaces existent.
La proposition de dépistage des IST facilite la proposition de dépistage de l’infection par le VIH en globalisant la problématique sida dans une prévention santé générale moins redoutée. Les représentations sociales des IST dans la population sont peu différentes de celles du VIH. Mais celles-ci sont souvent mal connues dans leur expression clinique, leurs conséquences et leur prise en charge. La justesse et la clarté de l’information sont primordiales pour générer une perception des risques correspondant à la réalité.
Différents facteurs peuvent provoquer la non utilisation du préservatif et le non recours au dépistage (discrimination, stigmatisation, rapports de force entre hommes et femmes, dépendance, marginalisation, précarité…).
Le contexte épidémiologique nous amène à redoubler d’imagination.
Depuis 2009, nous avons tenté une approche différente : créer un réseau de « Relais de Prévention des Risques Sexuels en Proximité » pour une prévention réalisée « autrement ».
La démarche comporte trois degrés d’innovation :
- Recadrer la prévention sur l’ensemble des risques que comporte l’activité sexuelle permet de globaliser l’approche par rapport à un même type de représentations, et un cheminement comparable dans le changement de comportements.
- Privilégier l’action de proximité effectuée par des pairs (même génération ou appartenance à une association, un club, une activité…), permet la reconnaissance d’une problématique commune, et la référence possible à ce pair (proche), en cas de questionnement en dehors de l’action.
- Assurer une permanence d’animation du réseau permettant la communication des actions, le partage d’informations théoriques et pratiques, la mutualisation des outils et des moyens, la solidarité entre « Relais de prévention » sur les actions. Elle génère l’utilisation, le maintien et la valorisation des compétences des acteurs. Elle peut être créatrice d’actions ponctuelles ou pérennes menées en collaboration avec de multiples partenaires. Elle étend la prévention sur l’ensemble du territoire martiniquais.
Plusieurs organismes se sont déjà inscrits dans la démarche, et ainsi formés, réalisent fréquemment des actions en proximité pour le public sur lequel ils rayonnent, et participent solidairement aux actions menées par les structures des autres « Relais » formés.
Le choix d’Action Sida Martinique de porter le projet résulte de son statut associatif, du positionnement actif dans la lutte contre le VIH/Sida, de l’expérience acquise dans la dynamique de projets d’actions de santé, et la mise en place de partenariats actifs.
Depuis sa création l’une des missions de l’association Action Sida Martinique est d’informer la population par diverses actions permanentes ou ponctuelles, en direct ou en partenariat.
Elle bénéficie dans ce sens d’une expérience qui l’a conduite à créer, en 2003, un pôle « formation » actif auprès de nombreux partenaires. Depuis, la formation initiale de 948 professionnels du secteur médico-social et éducatif a contribué, d’une part, à l’évolution de l’accueil et de la prise en charge des personnes séropositives au VIH, et d’autre part, à l’amélioration des connaissances et des méthodes des acteurs de prévention, professionnels ou bénévoles.
La déclaration de 580 nouveaux diagnostics d’infection au du 30 mars 2003 au 31 décembre 2011 (chiffre observatoire de la santé de novembre 2012), indique une épidémie de VIH encore très active en Martinique et la prépondérance des contaminations lors de rapports hétérosexuels 53%. La tranche d’âge 40-49 ans est la plus touchée (28% des cas).
Alors que les experts recommandent un diagnostic précoce pour le VIH et les IST, le dépistage tardif persiste : les principales circonstances de découvertes de séropositivité sont la présence de signes cliniques et biologiques (28%) et le bilan systématique (15%).
La résurgence des cas de syphilis (55 cas depuis 2004), atteste d’un relâchement de la prévention et la pratique persistante de comportements sexuels à risque. Le risque de cancers du col associés aux papillomavirus (HPV) est significatif.
La prévalence constante des diagnostics de Chlamydiae chez les jeunes (38% des diagnostics d’IST chez les moins de 29 ans selon le Dispensaire Vernes-Monrose, chiffre de 2011) dénote un suivi gynécologique incertain, alors que des possibilités de traitements simples et efficaces existent.
La proposition de dépistage des IST facilite la proposition de dépistage de l’infection par le VIH en globalisant la problématique sida dans une prévention santé générale moins redoutée. Les représentations sociales des IST dans la population sont peu différentes de celles du VIH. Mais celles-ci sont souvent mal connues dans leur expression clinique, leurs conséquences et leur prise en charge. La justesse et la clarté de l’information sont primordiales pour générer une perception des risques correspondant à la réalité.
Différents facteurs peuvent provoquer la non utilisation du préservatif et le non recours au dépistage (discrimination, stigmatisation, rapports de force entre hommes et femmes, dépendance, marginalisation, précarité…).
Le contexte épidémiologique nous amène à redoubler d’imagination.
Depuis 2009, nous avons tenté une approche différente : créer un réseau de « Relais de Prévention des Risques Sexuels en Proximité » pour une prévention réalisée « autrement ».
La démarche comporte trois degrés d’innovation :
- Recadrer la prévention sur l’ensemble des risques que comporte l’activité sexuelle permet de globaliser l’approche par rapport à un même type de représentations, et un cheminement comparable dans le changement de comportements.
- Privilégier l’action de proximité effectuée par des pairs (même génération ou appartenance à une association, un club, une activité…), permet la reconnaissance d’une problématique commune, et la référence possible à ce pair (proche), en cas de questionnement en dehors de l’action.
- Assurer une permanence d’animation du réseau permettant la communication des actions, le partage d’informations théoriques et pratiques, la mutualisation des outils et des moyens, la solidarité entre « Relais de prévention » sur les actions. Elle génère l’utilisation, le maintien et la valorisation des compétences des acteurs. Elle peut être créatrice d’actions ponctuelles ou pérennes menées en collaboration avec de multiples partenaires. Elle étend la prévention sur l’ensemble du territoire martiniquais.
Plusieurs organismes se sont déjà inscrits dans la démarche, et ainsi formés, réalisent fréquemment des actions en proximité pour le public sur lequel ils rayonnent, et participent solidairement aux actions menées par les structures des autres « Relais » formés.
Le choix d’Action Sida Martinique de porter le projet résulte de son statut associatif, du positionnement actif dans la lutte contre le VIH/Sida, de l’expérience acquise dans la dynamique de projets d’actions de santé, et la mise en place de partenariats actifs.
Objectif de l'action
*Objectif général :
-Améliorer sur le territoire de la Martinique, la santé sexuelle, la connaissance des risques, l’adoption des comportements adaptés aux pratiques de chacun, le principe de responsabilité citoyenne de la population, des publics cibles, des publics en difficulté et des personnes vivant avec le VIH par l’incitation au dépistage précoce des IST, en développant des actions de prévention sous toutes leurs formes dans la proximité et l’action communautaire.
*Objectifs Opérationnels :
-Poursuivre les actions de prévention
-Dynamiser 10 actions de santé sexuelle et de prévention de proximité
-Augmenter les connaissances des acteurs professionnels et/ou bénévoles de l’ensemble du territoire de la Martinique
-Contribuer à la diminution de la charge virale communautaire en Martinique
-
-Améliorer sur le territoire de la Martinique, la santé sexuelle, la connaissance des risques, l’adoption des comportements adaptés aux pratiques de chacun, le principe de responsabilité citoyenne de la population, des publics cibles, des publics en difficulté et des personnes vivant avec le VIH par l’incitation au dépistage précoce des IST, en développant des actions de prévention sous toutes leurs formes dans la proximité et l’action communautaire.
*Objectifs Opérationnels :
-Poursuivre les actions de prévention
-Dynamiser 10 actions de santé sexuelle et de prévention de proximité
-Augmenter les connaissances des acteurs professionnels et/ou bénévoles de l’ensemble du territoire de la Martinique
-Contribuer à la diminution de la charge virale communautaire en Martinique
-
Description
Le projet consiste à encourager les volontés de rayonnement d’acteurs les plus diversifiés, dans la proximité, pour alimenter le réseau déjà constitué, d’animer celui-ci dans la continuité, d’accompagner les synergies existantes, et d’en stimuler d’autres, de promouvoir une action pilote émergeante.
Il comprend plusieurs activités qui s’inscrivent dans la continuité les unes des autres :
Activités correspondant à l’objectif 1 :
-Permanence d’accueil d’information et d’orientation, service de documentation.
-Provoquer au moins 2 actions de communication médiatiques sur les risques liés au VIH/Sida et aux IST, notamment dans les temps forts.
-Organiser 2 actions de prévention et d’incitation au dépistage en direction de la population générale lors de manifestations événementielles sur le territoire de la Martinique.
-Poursuivre, en partenariat avec 6 acteurs de terrain, le pilotage d’amélioration de la santé sexuelle par la prévention et le dépistage décentralisé sur le campus de Schoelcher, en direction des étudiants et de leurs partenaires.
-Poursuivre le programme de sensibilisation au VIH et aux IST en direction des détenus du Centre Pénitentiaire de Champigny – Ducos en terme de connaissance de l’infection, de réduction des risques, de dépistage.
-Réaliser 30 programmes de sensibilisation des populations spécifiques (jeunes et scolarisés, populations en insertion, 3ème âge, groupes communautaires, entreprises, population illettrée, publics en difficulté, …), au moyen de la création et la l’utilisation d’outils spécifiques adaptés sur toute la Martinique.
-Réaliser 8 ateliers thématiques d’éducation et de prévention, en direction des personnes vivant avec le VIH.
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Activités correspondant à l’objectif 2 :
-Alimenter le réseau des Relais de prévention des risques sexuels en proximité par la formation et l’évaluation d’au moins 12 nouveaux acteurs (2 programmes annuels), capables de diffuser, dans leur environnement, une information actualisée sur les risques sexuels : IST et VIH/Sida, grossesses non désirées, comportements sexuels à risque, moyens de prévention, dépistage…
-Entretenir le partenariat avec les « Relais de prévention » formés, pour développer 10 actions dans leur environnement direct : milieu étudiant, professionnel, sportif, détente et loisirs, quartier… ;
-Provoquer au moins 2 rencontres de « Relais de prévention » afin d’impulser et animer le réseau constitué, en connexion avec les membres d’Action Sida Martinique, pour pérenniser leur implication solidaire et maintenir leur niveau de connaissance.
-Poursuivre l’évaluation externe par l’observatoire de la Santé en Martinique sur cet objectif
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Action Sida Martinique – 2013 Page 13 sur 33
Activités correspondant à l’objectif 3 :
-Intensifier les connaissances des acteurs médico-sociaux afin de permettre la prise en charge des personnes infectées sans discrimination et en toute confidentialité, par :
- La formation initiale et continue de 30 intervenants médico-sociaux pouvant être en relation avec des personnes infectées : projet, promotion, contacts, organisation, déroulement des sessions, bilan…
- L’impulsion et l’activation du réseau des professionnels médico-sociaux formés par Action Sida Martinique, constitué depuis le début des sessions - Liens avec la cellule d’aide aux personnes, l’Assistante sociale du CHU, le COREVIH, le Réseau Ville Hôpital VIH/Sida…
-Promouvoir l’activité interne, dans l’exercice de la démocratie, en toute connaissance de l’impact spécifique de l’activité associative, et de la portée de son action sur le territoire martiniquais par la formation initiale et continue des membres et du personnel de l’association.
NB : 40% de l’activité associative est effectuée par des bénévoles.
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Activités correspondant à l’objectif 4 :
-Continuer l’action de poste avancé de prévention secondaire et tertiaire de la permanence associative à l’hôpital, par l’écoute, l’information, et l’orientation de 120 personnes vivant avec le VIH présentes à l’hôpital.
-Maintenir le lien social avec 200 personnes vivant avec le VIH, connues d’Action Sida Martinique, par l’accueil, les contacts téléphoniques réguliers, les visites, les sollicitations à participer à des activités associatives.
-Suivre l’itinéraire d’adhésion aux soins de 20 personnes vivant avec le VIH éloignées du soin, par l’élaboration d’un projet de vie, la proposition de solutions personnalisées, les sollicitations à participer à des activités associatives et l’orientation vers des services adaptés.
-Réaliser un programme de séminaires de prévention santé des personnes vivant avec le VIH.
-Poursuivre la démarche qualité, particulièrement sur cet objectif, par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Il comprend plusieurs activités qui s’inscrivent dans la continuité les unes des autres :
Activités correspondant à l’objectif 1 :
-Permanence d’accueil d’information et d’orientation, service de documentation.
-Provoquer au moins 2 actions de communication médiatiques sur les risques liés au VIH/Sida et aux IST, notamment dans les temps forts.
-Organiser 2 actions de prévention et d’incitation au dépistage en direction de la population générale lors de manifestations événementielles sur le territoire de la Martinique.
-Poursuivre, en partenariat avec 6 acteurs de terrain, le pilotage d’amélioration de la santé sexuelle par la prévention et le dépistage décentralisé sur le campus de Schoelcher, en direction des étudiants et de leurs partenaires.
-Poursuivre le programme de sensibilisation au VIH et aux IST en direction des détenus du Centre Pénitentiaire de Champigny – Ducos en terme de connaissance de l’infection, de réduction des risques, de dépistage.
-Réaliser 30 programmes de sensibilisation des populations spécifiques (jeunes et scolarisés, populations en insertion, 3ème âge, groupes communautaires, entreprises, population illettrée, publics en difficulté, …), au moyen de la création et la l’utilisation d’outils spécifiques adaptés sur toute la Martinique.
-Réaliser 8 ateliers thématiques d’éducation et de prévention, en direction des personnes vivant avec le VIH.
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Activités correspondant à l’objectif 2 :
-Alimenter le réseau des Relais de prévention des risques sexuels en proximité par la formation et l’évaluation d’au moins 12 nouveaux acteurs (2 programmes annuels), capables de diffuser, dans leur environnement, une information actualisée sur les risques sexuels : IST et VIH/Sida, grossesses non désirées, comportements sexuels à risque, moyens de prévention, dépistage…
-Entretenir le partenariat avec les « Relais de prévention » formés, pour développer 10 actions dans leur environnement direct : milieu étudiant, professionnel, sportif, détente et loisirs, quartier… ;
-Provoquer au moins 2 rencontres de « Relais de prévention » afin d’impulser et animer le réseau constitué, en connexion avec les membres d’Action Sida Martinique, pour pérenniser leur implication solidaire et maintenir leur niveau de connaissance.
-Poursuivre l’évaluation externe par l’observatoire de la Santé en Martinique sur cet objectif
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Action Sida Martinique – 2013 Page 13 sur 33
Activités correspondant à l’objectif 3 :
-Intensifier les connaissances des acteurs médico-sociaux afin de permettre la prise en charge des personnes infectées sans discrimination et en toute confidentialité, par :
- La formation initiale et continue de 30 intervenants médico-sociaux pouvant être en relation avec des personnes infectées : projet, promotion, contacts, organisation, déroulement des sessions, bilan…
- L’impulsion et l’activation du réseau des professionnels médico-sociaux formés par Action Sida Martinique, constitué depuis le début des sessions - Liens avec la cellule d’aide aux personnes, l’Assistante sociale du CHU, le COREVIH, le Réseau Ville Hôpital VIH/Sida…
-Promouvoir l’activité interne, dans l’exercice de la démocratie, en toute connaissance de l’impact spécifique de l’activité associative, et de la portée de son action sur le territoire martiniquais par la formation initiale et continue des membres et du personnel de l’association.
NB : 40% de l’activité associative est effectuée par des bénévoles.
-Poursuivre la démarche qualité sur cet objectif par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Activités correspondant à l’objectif 4 :
-Continuer l’action de poste avancé de prévention secondaire et tertiaire de la permanence associative à l’hôpital, par l’écoute, l’information, et l’orientation de 120 personnes vivant avec le VIH présentes à l’hôpital.
-Maintenir le lien social avec 200 personnes vivant avec le VIH, connues d’Action Sida Martinique, par l’accueil, les contacts téléphoniques réguliers, les visites, les sollicitations à participer à des activités associatives.
-Suivre l’itinéraire d’adhésion aux soins de 20 personnes vivant avec le VIH éloignées du soin, par l’élaboration d’un projet de vie, la proposition de solutions personnalisées, les sollicitations à participer à des activités associatives et l’orientation vers des services adaptés.
-Réaliser un programme de séminaires de prévention santé des personnes vivant avec le VIH.
-Poursuivre la démarche qualité, particulièrement sur cet objectif, par une réflexion générale sur les indicateurs, les outils d’évaluation, l’engagement à réaliser, la pertinence des actions en vue de l’écriture du CPOM.
Année de début de réalisation
2013
Année de fin de réalisation
2013
Durée
1 an, de janvier à decembre
Fréquence
Répétitive
Public
Jeunes 16-25 ans (insertion professionnelle), Personnes de plus de 55 ans, Professionnels de santé, Professionnels du social, Tout public, Etudiants, apprentis, Personnes en difficulté socio-économique, Autre
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Education pour la santé, Prise en charge sociale
Financeur
- ARS : 192 608 € €
- Assurance Maladie : CGSS FNASS: 30 000 € CGSS FNPEIS: 30 000 € €
- - Conseil régional : 4 000 € €
- Fonds propres : Bénévolat : 70 000 € vente de produits: 16 000 € Cotisations 1 000 € Autres 3 000 € €
- Politique de la ville : ACSE: 6 000 € CUCS Fort de France 8 000 € CUCS Lamentin 8 000 € €
- Autre : INPES 18 000 € Sidaction 19 000 € €
Evaluation de l'action
L'évaluation du projet est réalisée par l'observatoire de la santé.
Indicateurs quantitatifs:
-Nombre de documents et préservatifs reçus
-Nombre de personnes rencontrées (accueil physique et téléphonique)
-Nombre d’actions grand public et d’incitation au dépistage (matériel distribué, nombre de personnes touchées, nombre d’intervention/information réalisées territoire touché, nombre d’heure d’intervention)
-Nombre de réunion de coordination avec les différents acteurs de prévention --Nombre de personnes informées par catégories de public
-Nombre d’outils spécifiques réalisés Nombre de supports de prévention utilisés
-Nombre d’interventions réalisées au centre pénitentiaire
-Nombre de détenus rencontrés et matériel distribué
-Nombre d’ateliers thématiques réalisés
-Nombre de personnes touchées (questionnaire dévaluation)
-Nombre de séances de dépistage
-Nombre de dépistage réalisé (action relais/dépistage CAMPUS, évalué par l’Observatoire de la Santé Martinique)
-Nombre de volontaires participant aux programmes
-Nombre d’actions initiées en solo et en réseau
-Nombre de volontaires participant aux programmes
-Nombre d’actions soutenues, coordonnées et évaluées
-Nombre d’actions de formation
-Nombre de personnes formées
-Nombre de contacts
-Nombre de réunions
-Nombre de communications
-Nombre de regroupements
-Nombre de membres formés
-Nombre d’Actions portées par les bénévoles
-Nombre de participations
-Nombre de réunions de la cellule d’aide aux personnes
-Nombre de réunions du groupe soutien
-Nombre de permanence associative hospitalière
-Nombre de personnes reçues par les différents services
-Nombre de personnes suivies par les psychologues
-Nombre de personnes très éloignées du soin suivies
-Taux de fréquentation des ateliers et des actions de soutien
Indicateurs quantitatifs:
-Nombre de documents et préservatifs reçus
-Nombre de personnes rencontrées (accueil physique et téléphonique)
-Nombre d’actions grand public et d’incitation au dépistage (matériel distribué, nombre de personnes touchées, nombre d’intervention/information réalisées territoire touché, nombre d’heure d’intervention)
-Nombre de réunion de coordination avec les différents acteurs de prévention --Nombre de personnes informées par catégories de public
-Nombre d’outils spécifiques réalisés Nombre de supports de prévention utilisés
-Nombre d’interventions réalisées au centre pénitentiaire
-Nombre de détenus rencontrés et matériel distribué
-Nombre d’ateliers thématiques réalisés
-Nombre de personnes touchées (questionnaire dévaluation)
-Nombre de séances de dépistage
-Nombre de dépistage réalisé (action relais/dépistage CAMPUS, évalué par l’Observatoire de la Santé Martinique)
-Nombre de volontaires participant aux programmes
-Nombre d’actions initiées en solo et en réseau
-Nombre de volontaires participant aux programmes
-Nombre d’actions soutenues, coordonnées et évaluées
-Nombre d’actions de formation
-Nombre de personnes formées
-Nombre de contacts
-Nombre de réunions
-Nombre de communications
-Nombre de regroupements
-Nombre de membres formés
-Nombre d’Actions portées par les bénévoles
-Nombre de participations
-Nombre de réunions de la cellule d’aide aux personnes
-Nombre de réunions du groupe soutien
-Nombre de permanence associative hospitalière
-Nombre de personnes reçues par les différents services
-Nombre de personnes suivies par les psychologues
-Nombre de personnes très éloignées du soin suivies
-Taux de fréquentation des ateliers et des actions de soutien
Secteur d'activité
Milieu pénitentiaire, Etablissement scolaire : lycée, Université, Local d’association
Lieu d'intervention
Les actions de préventions se déroulent sur toute la Martinique (établissement scolaire, association…).
Les quartiers prioritaires de la ville de Fort de France et du lamentin sont également concernés.
Le campus de Schoelcher pour le dépistage.
Centre Pénitentiaire de Champigny – Ducos
Les quartiers prioritaires de la ville de Fort de France et du lamentin sont également concernés.
Le campus de Schoelcher pour le dépistage.
Centre Pénitentiaire de Champigny – Ducos
Niveau géographique
Territorial
Niveau départemental
Martinique
Niveau territorial de santé
Territoire de santé Centre, Nord Atlantique, Nord Caraibe, Sud
Plan national
VIH/SIDA/IST - Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST (2010 - 2014)
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)