Promotion de la santé, prévention et réduction des risques liés à la sexualité - Éducation à la sexualité au moyen d'animations auprès de groupes d'âge scolaire.
2015
Action chaînée avec : Promotion de la santé, prévention et réduction des risques liés à la sexualité - Éducation à la sexualité au moyen d'animations auprès de groupes d'âge scolaire. - 2013
Porteur de l'action : Mouvement Français pour le Planning Familial (MFPF 67), Association
13 rue du 22 Novembre , Strasbourg
03 88 32 28 28
Thème
Sexualité (contraception, IVG), VIH-Sida IST, Hépatites (VHB - VHC), Santé scolaire, Précarité, Violence (dont mutilations sexuelles), Compétences psychosociales
Programmes
-
Programme : Lutter contre le VIH/SIDA, les IST et les hépatites
- Objectif Objectif 1 : Prévenir les risques de transmission (VIH/SIDA/Hépatites)
- Objectif Objectif 2 : Renforcer le dépistage (VIH/SIDA/Hépatites)
-
Programme : Prévenir les conduites à risque chez les jeunes
- Objectif Objectif 1 : Inscrire les actions de prévention des conduites à risque dans une logique de promotion de la santé
- Objectif Objectif 2 : Favoriser l'accès des jeunes et/ou de leurs parents aux ressources en matière de prévention des conduites à risque
- Objectif Objectif 3 : Renforcer la réduction des risques dans la continuité de la prévention des conduites à risque
- Objectif Objectif 4 : Faciliter le repérage des conduites d'excès et la continuité de prise en charge des jeunes qui s'y livrent
Contexte
La sexualité peut entraîner de nombreuses prises de risque : grossesses non désirées, IST/VIH, violences, souffrance psychique...
Même si l’Alsace a des chiffres proportionnellement moins importants que les chiffres nationaux, il y a entre 4500 et 5000 avortements par an, dont presque 6 % concernent des jeunes femmes mineures.
En ce qui concerne le VIH/SIDA, selon le COREVIH, il y a une nette augmentation des nouveaux dépistés parmi les personnes âgées de 20 à 29 ans et le nombre des nouveaux contaminés parmi les 30/39 ans qui avait diminué, est à nouveau en augmentation (données 2013). On estime de plus que de nombreuses personnes séropositives ne sont pas encore dépistées .L’Alsace est une région à prévalence forte en ce qui concerne le VIH et les hépatites B et C.
Les chiffres concernant les violences sont largement sous estimés, en particulier pour les viols. Le besoin d’information sur ces thèmes est très grand, en particulier chez les jeunes.
De façon à permettre aux jeunes de s’exprimer entre pairs sur ces sujets le Planning a depuis des années développé des animations en petits groupes de jeunes. Cette forme d’animation est considérée comme un moyen essentiel de prévention des risques sexuels qui permet de développer l’empowerment dans cette population.
Depuis de nombreuses années, les professionnels en contact avec les adolescent(e)s (infirmières scolaires mais aussi éducateurs-trices en instituts médico-pédagogiques ou instituts médico-éducatifs, missions locales…..) sont en demande d’intervention par des intervenants extérieurs compétents en matière d’éducation à la sexualité et de prévention des comportements à risques qui y sont liés.
Certains, formés, pourraient intervenir sur ces questions mais préfèrent parfois faire appel à un professionnel extérieur, tant les questions liées à la sexualité, relevant de l’intime, leur paraissent nécessiter un appui extérieur. Les populations ciblées ne sont pas toujours aussi bien informées qu’on pourrait le croire :
beaucoup de fausses informations et stéréotypes circulent d’autant plus que les personnes sont éloignées des ressources d’information.
Notre démarche est avant tout celle de l’éducation populaire. Nous ouvrons un espace de parole pour les jeunes qui s’expriment, réfléchissent ensemble, parlent de leurs représentations et de leurs préoccupations en petits groupes. Donner accès à un espace de parole pour un jeune c’est faire le pari de diminuer ses stéréotypes et ses éventuelles "souffrances psychiques".
Au-delà de l’apport d’informations et de l’actualisation de leurs connaissances, le but est de permettre aux jeunes d’intégrer les messages de prévention. Ces jeunes peuvent transmettre à leurs pairs des informations exactes et devenir à leur tour des acteurs de prévention. Ces animations permettent également des orientations pertinentes en fonction des besoins exprimés.
Même si l’Alsace a des chiffres proportionnellement moins importants que les chiffres nationaux, il y a entre 4500 et 5000 avortements par an, dont presque 6 % concernent des jeunes femmes mineures.
En ce qui concerne le VIH/SIDA, selon le COREVIH, il y a une nette augmentation des nouveaux dépistés parmi les personnes âgées de 20 à 29 ans et le nombre des nouveaux contaminés parmi les 30/39 ans qui avait diminué, est à nouveau en augmentation (données 2013). On estime de plus que de nombreuses personnes séropositives ne sont pas encore dépistées .L’Alsace est une région à prévalence forte en ce qui concerne le VIH et les hépatites B et C.
Les chiffres concernant les violences sont largement sous estimés, en particulier pour les viols. Le besoin d’information sur ces thèmes est très grand, en particulier chez les jeunes.
De façon à permettre aux jeunes de s’exprimer entre pairs sur ces sujets le Planning a depuis des années développé des animations en petits groupes de jeunes. Cette forme d’animation est considérée comme un moyen essentiel de prévention des risques sexuels qui permet de développer l’empowerment dans cette population.
Depuis de nombreuses années, les professionnels en contact avec les adolescent(e)s (infirmières scolaires mais aussi éducateurs-trices en instituts médico-pédagogiques ou instituts médico-éducatifs, missions locales…..) sont en demande d’intervention par des intervenants extérieurs compétents en matière d’éducation à la sexualité et de prévention des comportements à risques qui y sont liés.
Certains, formés, pourraient intervenir sur ces questions mais préfèrent parfois faire appel à un professionnel extérieur, tant les questions liées à la sexualité, relevant de l’intime, leur paraissent nécessiter un appui extérieur. Les populations ciblées ne sont pas toujours aussi bien informées qu’on pourrait le croire :
beaucoup de fausses informations et stéréotypes circulent d’autant plus que les personnes sont éloignées des ressources d’information.
Notre démarche est avant tout celle de l’éducation populaire. Nous ouvrons un espace de parole pour les jeunes qui s’expriment, réfléchissent ensemble, parlent de leurs représentations et de leurs préoccupations en petits groupes. Donner accès à un espace de parole pour un jeune c’est faire le pari de diminuer ses stéréotypes et ses éventuelles "souffrances psychiques".
Au-delà de l’apport d’informations et de l’actualisation de leurs connaissances, le but est de permettre aux jeunes d’intégrer les messages de prévention. Ces jeunes peuvent transmettre à leurs pairs des informations exactes et devenir à leur tour des acteurs de prévention. Ces animations permettent également des orientations pertinentes en fonction des besoins exprimés.
Objectif de l'action
* Objectif général
- Favoriser l’intégration de comportements de protection ou à moindres risques et permettre d’aborder la vie affective et sexuelle sereinement ;
- Aborder la sexualité sous l’angle relationnel : estime de soi, respect de l’autre, désir, plaisir, tendresse, amour...
* Objectifs opérationnels :
- recenser les besoins et attentes des différents publics ;
* Objectif intermédiaire 1 :
- recenser les besoins et attentes des différents publics avec les infirmières scolaires, les personnes référentes, les équipes éducatives ;
- définir les modalités pratiques d’intervention ;
- contacter les responsables académiques en charge de l’éducation à la sexualité pour harmoniser les interventions ;
- préparer des interventions dans le cadre des réunions de comités d’éducation à la santé et à la citoyenneté dans les établissements et participer à certaines réunions de regroupement des infirmières scolaires ;
- préparer les interventions en fonction de la demande des personnes référentes des groupes hors cadre scolaire ;
- dans les suites de la réalisation des interventions, utiliser les évaluations qualitatives des jeunes réalisées à la fin de chaque séance pour être au plus près de leurs attentes ainsi que le bilan qualitatif de la personne référente.
* Objectif intermédiaire 2 :
- Apporter recul et connaissance autour du corps, de la contraception, des risques liés au VIH/IST, des violences, des droits.
* Objectifs opérationnels :
- approfondir les connaissances concernant le corps ;
- apporter les informations complémentaires en matière de contraception ;
- informer sur les IST et le Sida ainsi que sur les façons de s’en protéger ;
- faire réfléchir et émerger les représentations autour de la sexualité, des relations hommes-femmes, le respect de l’autre, de l’amour…
- faire émerger les questionnements ;
- informer sur les structures existantes et compétentes sur les différentes problématiques : contraception, IVG, IST, violences de couple, intrafamiliales et violences sexuelles (viol, viols par inceste, mariages forcés…)
- familiariser avec les préservatifs masculins et féminins : mise à disposition et présentation selon le public.
* Objectif intermédiaire 3 :
- prévenir la souffrance psychique chez les jeunes, en particulier chez des jeunes dits «vulnérables».
* Objectifs opérationnels :
- permettre l’expression des questions sur l’identité sexuelle et faire émerger les questionnements et stéréotypes sur l’homosexualité;
- permettre l’expression des jeunes en situation de handicap, en foyer d’accueil, en échec scolaire, en rupture familiale et sociale ;
- travailler autour du respect de soi et des autres ;
- informer sur les structures existantes, les lieux d’accueil permettant de s’exprimer sur ses problématiques personnelles.
* Objectif intermédiaire 4 :
- développer les fonctions parentales autour des questions liées à la sexualité ;
* Objectifs opérationnels :
- réunir des parents et les faire réfléchir à l’égalité hommes/femmes ;
- développer les thématiques violences et ses impacts sur les jeunes ;
- partager une réflexion sur les droits des enfants et des jeunes ;
- informer sur l’importance de l’éducation à la sexualité dans la réduction des risques sexuels.
- Favoriser l’intégration de comportements de protection ou à moindres risques et permettre d’aborder la vie affective et sexuelle sereinement ;
- Aborder la sexualité sous l’angle relationnel : estime de soi, respect de l’autre, désir, plaisir, tendresse, amour...
* Objectifs opérationnels :
- recenser les besoins et attentes des différents publics ;
* Objectif intermédiaire 1 :
- recenser les besoins et attentes des différents publics avec les infirmières scolaires, les personnes référentes, les équipes éducatives ;
- définir les modalités pratiques d’intervention ;
- contacter les responsables académiques en charge de l’éducation à la sexualité pour harmoniser les interventions ;
- préparer des interventions dans le cadre des réunions de comités d’éducation à la santé et à la citoyenneté dans les établissements et participer à certaines réunions de regroupement des infirmières scolaires ;
- préparer les interventions en fonction de la demande des personnes référentes des groupes hors cadre scolaire ;
- dans les suites de la réalisation des interventions, utiliser les évaluations qualitatives des jeunes réalisées à la fin de chaque séance pour être au plus près de leurs attentes ainsi que le bilan qualitatif de la personne référente.
* Objectif intermédiaire 2 :
- Apporter recul et connaissance autour du corps, de la contraception, des risques liés au VIH/IST, des violences, des droits.
* Objectifs opérationnels :
- approfondir les connaissances concernant le corps ;
- apporter les informations complémentaires en matière de contraception ;
- informer sur les IST et le Sida ainsi que sur les façons de s’en protéger ;
- faire réfléchir et émerger les représentations autour de la sexualité, des relations hommes-femmes, le respect de l’autre, de l’amour…
- faire émerger les questionnements ;
- informer sur les structures existantes et compétentes sur les différentes problématiques : contraception, IVG, IST, violences de couple, intrafamiliales et violences sexuelles (viol, viols par inceste, mariages forcés…)
- familiariser avec les préservatifs masculins et féminins : mise à disposition et présentation selon le public.
* Objectif intermédiaire 3 :
- prévenir la souffrance psychique chez les jeunes, en particulier chez des jeunes dits «vulnérables».
* Objectifs opérationnels :
- permettre l’expression des questions sur l’identité sexuelle et faire émerger les questionnements et stéréotypes sur l’homosexualité;
- permettre l’expression des jeunes en situation de handicap, en foyer d’accueil, en échec scolaire, en rupture familiale et sociale ;
- travailler autour du respect de soi et des autres ;
- informer sur les structures existantes, les lieux d’accueil permettant de s’exprimer sur ses problématiques personnelles.
* Objectif intermédiaire 4 :
- développer les fonctions parentales autour des questions liées à la sexualité ;
* Objectifs opérationnels :
- réunir des parents et les faire réfléchir à l’égalité hommes/femmes ;
- développer les thématiques violences et ses impacts sur les jeunes ;
- partager une réflexion sur les droits des enfants et des jeunes ;
- informer sur l’importance de l’éducation à la sexualité dans la réduction des risques sexuels.
Description
Il s’agit d’une action de promotion de la santé, de prévention et de réduction des risques liés à la sexualité.
Nos interventions d’éducation à la sexualité auprès de groupes d’âge scolaire nous permettent, outre l’apport d’information, de les sensibiliser aux différents risques encourus par le biais d’échanges et d’ouverture d’un espace de parole lors de l’animation. Il y est également question du côté positif de la sexualité : relations égalitaires-amour-plaisir-intimité.
Cette action peut se transformer en action de dépistage, repérage. En effet certains jeunes viennent nous voir à l’issue d’une animation pour parler d’un problème les concernant personnellement ("j’ai peur d’être enceinte", "j’ai subi une violence"...) et de fait, ave la coopération des responsables sur place, en particulier des infirmières scolaires, cette action d’éducation à la sexualité devient une action d’accompagnement et de soutien qui peut déboucher sur une prise en charge individuelle au sein de nos permanences du planning familial ou au sein de la structure.
D’autant que la majorité des jeunes fréquentant nos centres de planification disent avoir été informés de notre existence par une animation ou par un jeune en ayant lui-même bénéficié.
* Préparation des animations :
- rencontre des infirmières scolaires ou personnes encadrant les jeunes ;
- recensement des attentes du public concerné et définition des modalités pratiques concernant l’intervention (ces modalités vont pouvoir ainsi s’adapter au mieux aux problématiques du public)
. nombre d’interventions,
. horaires,
. taille des groupes,
. travail en binôme) ;
* Programme d’une animation :
- Présentation du Planning Familial ;
- Recensement de l’attente du public ;
- Echanges et discussions entre les jeunes et avec les intervenants ;
- Apport d’informations ;
- Utilisation de techniques d’animation pour libérer la parole si nécessaire ;
- Rappel des lieux et personnes ressources internes à l’établissement et extérieures ;
* Evaluation de l’action :
- bilan par les jeunes sous forme d’un questionnaire auto rempli ;
- bilan avec la personne référente ou l’équipe éducative ;
- saisie et analyse des données rapportées dans les évaluations quantitatives et qualitatives ;
Nos interventions d’éducation à la sexualité auprès de groupes d’âge scolaire nous permettent, outre l’apport d’information, de les sensibiliser aux différents risques encourus par le biais d’échanges et d’ouverture d’un espace de parole lors de l’animation. Il y est également question du côté positif de la sexualité : relations égalitaires-amour-plaisir-intimité.
Cette action peut se transformer en action de dépistage, repérage. En effet certains jeunes viennent nous voir à l’issue d’une animation pour parler d’un problème les concernant personnellement ("j’ai peur d’être enceinte", "j’ai subi une violence"...) et de fait, ave la coopération des responsables sur place, en particulier des infirmières scolaires, cette action d’éducation à la sexualité devient une action d’accompagnement et de soutien qui peut déboucher sur une prise en charge individuelle au sein de nos permanences du planning familial ou au sein de la structure.
D’autant que la majorité des jeunes fréquentant nos centres de planification disent avoir été informés de notre existence par une animation ou par un jeune en ayant lui-même bénéficié.
* Préparation des animations :
- rencontre des infirmières scolaires ou personnes encadrant les jeunes ;
- recensement des attentes du public concerné et définition des modalités pratiques concernant l’intervention (ces modalités vont pouvoir ainsi s’adapter au mieux aux problématiques du public)
. nombre d’interventions,
. horaires,
. taille des groupes,
. travail en binôme) ;
* Programme d’une animation :
- Présentation du Planning Familial ;
- Recensement de l’attente du public ;
- Echanges et discussions entre les jeunes et avec les intervenants ;
- Apport d’informations ;
- Utilisation de techniques d’animation pour libérer la parole si nécessaire ;
- Rappel des lieux et personnes ressources internes à l’établissement et extérieures ;
* Evaluation de l’action :
- bilan par les jeunes sous forme d’un questionnaire auto rempli ;
- bilan avec la personne référente ou l’équipe éducative ;
- saisie et analyse des données rapportées dans les évaluations quantitatives et qualitatives ;
Partenaire de l'action
Infirmièr€s scolaires
Enseignant(e)s
éducateurs-trices
responsables associatifs
structures faisant appel à nous
ARS
Enseignant(e)s
éducateurs-trices
responsables associatifs
structures faisant appel à nous
ARS
Année de début de réalisation
2015
Année de fin de réalisation
2017
Durée
1 an
Fréquence
Suivie
Public
Préadolescents (10-12 ans), Adolescents (13-18 ans), Jeunes 16-25 ans (insertion professionnelle), Adultes 18-55 ans, Professionnels de santé, Professionnels du social, Professionnels de l'éducation, Autre profession, Tout public, Parents, Personnes relais / pairs, Personnes handicapées, Etudiants, apprentis, Personnes immigrées, Chômeurs, Personnes en difficulté socio-économique, Homme, Femme
Nombre de personnes concernées
3 500 à 4 000 personnes touchées par l'action et par an.
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Accueil, écoute, orientation
Outils et supports créés :
Facebook et site internet de l'association.
Outils et supports utilisés :
Documentation, brochures, affiches et matériel pédagogique utilisés par l'association, supports vidéos, préservatifs masculins et féminins ; Cartes d’information donnant les coordonnées de l'association ; Ces supports sont adaptés aux différents groupes et peuvent donc varier.
Communication et valorisation de l'action
Articles dans la presse locale
Interviews télévisés
Interviews télévisés
Financeur
- ARS : 15 000 € €
- Fonds propres : Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services : 6 530 € €
Evaluation de l'action
* Indicateurs quantitatifs :
- 297 séances réalisées
- 3 467 personnes rencontrées
- 1 454 collégiens rencontré lors de 118 interventions
- 428 lycéens ont été rencontrés lors de 26 interventions
- 504 lycéens ont été rencontrés lors de 47 animations
- 190 personnes (Établissements post bac) ont été rencontrées lors de 5 animations
- 276 personnes ont été rencontrées lors de 30 interventions (Foyers de jeunes, Public précaire jeunes)
- 357 personnes ont été rencontrées lors de 43 interventions (établissements spécialisés)
- 258 femmes ont été rencontrées lors de 28 interventions (– de 20 ans : 87 % ; + de 20 ans : 13 %)
- 93 % trouvent nos interventions intéressantes
* Indicateurs qualitatifs :
- Questionnaire d’évaluation, rempli par les jeunes à la fin de chaque animation :
. "suite à l’animation je me sens plus à l’aise sur les sujets suivants" : "mon corps" : 33,3 % ;
. intérêt pour l’intervention : "les relations filles/garçons" : 47 %
. connaissances nouvellement acquises : "où se renseigner, se confier en cas de questions, problèmes" : 46,5% ; "la contraception" : 39 % ; "la sexualité" : 42 % ; "rien du tout" : 17,6 % ; "autre" : 1 %.
- connaissances acquises en matière de contraception :
. "Je me sens mieux informé-e sur les moyens de contraception et de protection" : 85,6 % répondent "oui" ;
. "je me sens mieux informé-e sur les violences et les lieux où je peux en parler" : 86,2 % répondent "oui" ;
. "tous les sujets que je souhaitais ont été abordés" : 89,5 % répondent "oui".
. Les 10,5 % restant demandent essentiellement un approfondissement des thèmes abordés (violence, homosexualité, avortement, IST) ou font part d’une problématique plus personnelle.
- 297 séances réalisées
- 3 467 personnes rencontrées
- 1 454 collégiens rencontré lors de 118 interventions
- 428 lycéens ont été rencontrés lors de 26 interventions
- 504 lycéens ont été rencontrés lors de 47 animations
- 190 personnes (Établissements post bac) ont été rencontrées lors de 5 animations
- 276 personnes ont été rencontrées lors de 30 interventions (Foyers de jeunes, Public précaire jeunes)
- 357 personnes ont été rencontrées lors de 43 interventions (établissements spécialisés)
- 258 femmes ont été rencontrées lors de 28 interventions (– de 20 ans : 87 % ; + de 20 ans : 13 %)
- 93 % trouvent nos interventions intéressantes
* Indicateurs qualitatifs :
- Questionnaire d’évaluation, rempli par les jeunes à la fin de chaque animation :
. "suite à l’animation je me sens plus à l’aise sur les sujets suivants" : "mon corps" : 33,3 % ;
. intérêt pour l’intervention : "les relations filles/garçons" : 47 %
. connaissances nouvellement acquises : "où se renseigner, se confier en cas de questions, problèmes" : 46,5% ; "la contraception" : 39 % ; "la sexualité" : 42 % ; "rien du tout" : 17,6 % ; "autre" : 1 %.
- connaissances acquises en matière de contraception :
. "Je me sens mieux informé-e sur les moyens de contraception et de protection" : 85,6 % répondent "oui" ;
. "je me sens mieux informé-e sur les violences et les lieux où je peux en parler" : 86,2 % répondent "oui" ;
. "tous les sujets que je souhaitais ont été abordés" : 89,5 % répondent "oui".
. Les 10,5 % restant demandent essentiellement un approfondissement des thèmes abordés (violence, homosexualité, avortement, IST) ou font part d’une problématique plus personnelle.
Secteur d'activité
Milieu scolaire
Lieu d'intervention
Strasbourg ; Bischheim ; Schiltigheim ; Hoenheim ; Illkirch ; Sélestat ; Erstein ; Oberhausbergen
Niveau géographique
Départemental, Territorial
Commune
Bischheim, Erstein, Illkirch-Graffenstaden, Oberhausbergen, Obernai, Schiltigheim, Sélestat, Strasbourg
Niveau départemental
Bas-Rhin
Niveau territorial de santé
Territoire 2, Territoire 3
Niveau autre territoires de santé
STRASBOURG, OBERNAI-SELESTAT
Plan national
HEPATITES - Programme national hépatites virales C et B, PERINATALITE - Plan périnatalité, VIH/SIDA IST - Programme national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Observation
Cette année encore l’essentiel du travail d’analyse des informations, des statistiques a été fait bénévolement et peut difficilement être chiffré, mais cela représente un très grand nombre d’heures de travail. Ces heures devraient pouvoir être prises en charge financièrement.
Cette première année de CPOM 2015-2017 s’est inscrite dans la continuité de notre action d’éducation à la sexualité qui est au cœur des objectifs et de l’activité du Planning Familial car nous restons persuadé-e-s que l’éducation à la sexualité est non seulement un vecteur de prévention en matière de santé mais aussi un tremplin vers l’égalité et l’émancipation.
Cette première année de CPOM 2015-2017 s’est inscrite dans la continuité de notre action d’éducation à la sexualité qui est au cœur des objectifs et de l’activité du Planning Familial car nous restons persuadé-e-s que l’éducation à la sexualité est non seulement un vecteur de prévention en matière de santé mais aussi un tremplin vers l’égalité et l’émancipation.